« 4 200 m de dénivelé ? Mais ce sont des fadas qui font ça ! » Martine, septuagénaire marseillaise venue admirer le panorama du col du Glandon (1 924 m), assiste éberluée au passage de triathlètes sur ce mythique col savoyard, où l’air devient rare. Elle peine à concevoir qu’ils vont se farcir une ultime ascension éreintante après cela, vers la station de Saint-François-Longchamp, de l’autre côté de la vallée.