28e : Guirado doit sortir (pour un protocole commotion ?). Il est remplacé par Paenga Amosa. Espérons que l’ancien capitaine des Bleus n’a pas déjà fini le dernier match de sa carrière. Au fait, pas de carton pour Babillot et le MHR a choisi la mêlée plutôt que le but, ce qui est un peu étonnant malgré l’avance des Héraultais.
27e : Encore une pénalité dans les cordes de Paillaugue, après un plaquage dangereux de Babillot, assisté de Staniforth, sur Guirado (épaule dans le visage). Un carton à venir ?
26e : « Allez le CO, allez », chantent les supporteurs castrais, admirables alors qu’ils se sont tapé 26 heures de car pour voir leurs favoris se faire démembrer…
24e : Le quatrième essai de Montpellier pour Vincent Rattez !!! Non, il y avait un avant sur l’action. Je n’ose pas écrire que Castres respire, tant le score est déjà lourd.
22e : En avant du centre castrais Botitu. La cata complète pour le CO.
20e : Pénalité pour le MHR sur un maul écroulé par les Castrais. A 23 mètres quasiment en face des poteaux, c’est un cadeau pour Benoît Paillaugue, qui sale l’addition (0-20).
18e : Les supporteurs castrais, sonnés, tentent de lancer quelques « CO » pour se redonner du courage. On a déjà vu les Tarnais renverser des montagnes. Mais là, ce sont eux qui viennent de se faire bousculer en mêlée fermée. Quand tout part en c…
15e : Forcément, quand son buteur sort, c’est plus compliqué. Julien Dumora tente une pénalité de 40 m à droite mais c’est raté.
12e : INCROYABLE. Le troisième essai du MHR est signé par l’arrière Anthony Bouthier à l’issue d’une action de grande classe et d’une superbe passe décisive d’Arthur Vincent !!! Paillaugue rate la transfo en coin mais ça fait déjà 0-17…
Ben non, l’essai est bien validé. Et cette fois, Paillaugue le transforme. Une entame de rêve pour Montpellier !!! (0-12)
10e : Le deuxième essai du MHR, par Florian Verhaeghe en force !!! J’avais pourtant vu cru voir un en avant de passe au cours de l’action.
Un essai signé Arthur Vincent. Devant ses 22 m, l’ailier castrais Palis tente un coup de pied par-dessus hors de propos. Le MHR récupère et sur l’aile droite, le n°8 Mercer adresse un merveilleux coup de pied suivi et aplati par l’ailier montpelliérain, revenu récemment de 8 mois de blessure. La transformation ne passe pas.
6e : ESSAI POUR MONTPELLIER !!!
4e : Première attaque d’envergure dans la partie, et elle est pour le CO, qui balaie la pelouse de part et d’autre avant de perdre le ballon à 10 mètres de la ligne du MHR.
2e : Plaquage sans ballon du Montpelliérain Serfontain sur Arata, puis échauffourées alors que le demi de mêlée du MHR Paillaugue reste au sol. Rugueux, tout ça…
2e : Une bonne partie de ping-pong rugby pour commencer. Sans surprise (ne partez pas tout de suite !!!)
21h04 : C’EST PARTI (avec une minute d’avance donc) !!!
21h02 : Le ballon est entre les mains de l’ouvreur montpelliérain Paolo Garbisi. Les fauves vont bientôt être lâchés.
21h : Voilà c’est fini. Le président de la République quitte le terrain. Les joueurs courent pour se réchauffer un peu. Le poing rageur du Castrais Combezou vers ses supporteurs…
20h56 : Bon, c’est long là. Les joueurs n’en peuvent déjà plus, certains font des étirements, le public lance une « ola ». Et Emmanuel Macron n’en est encore qu’à la présentation des arbitres (dont Tual Trainini, celui du centre). Il doit encore saluer tous les Montpelliérains…
20h50 : Le président Macron descend sur la pelouse pour le traditionnel serrage de paluches d’avant-match. Des sifflets dans le public, comme d’hab’.
20h47 : Une chorale d’enfants chante La Marseillaise. Leurs voix sont submergées par celle du public.
20h42 : Le Bouclier de Brennus arrive sur la pelouse. Les supporteurs sont en transe. Mais la moitié repartira brocouille, comme on dit dans le Bouchonnois.
20h39 : Bon, coup d’envoi à 21h05 selon la dame qui anime l’avant-match. A ce rythme-là, on va commencer aussi tard que pour la finale de Ligue des champions…
20h35 : Bon, le Stade de France est loin d’être plein pour l’instant. Aucun problème à l’extérieur de l’enceinte pourtant, a priori.
Un objet à l’histoire aussi riche que cabossée, que Gilles Durand vous raconte dans ce podcast.
20h25 : Bon, en fait les deux équipes reconduisent les mêmes 23 joueurs qu’en demi-finale. Alors qu’il devait faire son retour, le pilier du MHR Enzo Forletta, blessé aux cervicales, laisse comme contre l’UBB sa place au Sud-Africain Robert Rodgers.
20h25 : Les speakers tentent d’ambiancer l’enceinte. Net avantage CO pour l’instant, sur le plan vocal.
20h10 : Bon, alors je m’interroge. Le match était initialement annoncé à 20h45 mais les écrans géants du Stade de France annoncent 21 h. Peut-être aura-t-on droit, outre la présentation des équipes, à des spectacles de cracheurs de feu puis de caniches savants pour meubler ce fameux quart d’heure.
20h08 : Le DJ Cut Killer propose un remix pour ambiancer un peu le SDF, avec notamment Welcome to the jungle de Guns N’ Roses, Let’s Dance de David Bowie et Say So de Doja Cat (merci Shazam pour ce dernier titre).
20h : BONSOIR LA FRANCE !!!
L’affiche avait déjà été diffusée au Stade de France en 2018, et s’était terminée par une victoire du club tarnais (29-13). Quatre ans plus tard, la plupart des visages ont changé. Et il semble difficile de dégager un favori dans cette confrontation au cours de laquelle, « ça devrait taper fort », pour reprendre un bon cliché du vocabulaire rugby. Le CO vise un sixième Bouclier de Brennus, qui serait le troisième depuis 2013, alors que pour le MHR, son richissime président Mohed Altrad et son manager Philippe Saint-André, ce serait le premier.
» Rendez-vous aux alentours de 20 h pour lancer cette finale