Confier durant les Jeux la gestion de certains sites à des opérateurs qui en ont l’habitude et qui connaissent parfaitement les rouages, notamment parce qu’ils les exploitent à longueur d’année, était une idée belle et novatrice. « C’était assez pragmatique : on disposait en majorité de sites existants, avec des personnes qui les opèrent au quotidien, pourquoi ne pas travailler avec elles pour livrer les Jeux ? explique Étienne Thobois, le directeur général de Paris 2024. Parallèlement à ça, il y avait une petite musique : les fédérations internationales nous disaient vouloir être davantage investies, ce système nous paraissait aller dans ce sens. »