Coincé sous l’A86, à la limite entre Aubervilliers et Saint-Denis, le vieux site Total, clôturé par d’immenses tôles, n’a plus rien à attendre des Jeux olympiques. C’est là que les candidats malheureux à l’organisation des JO de 2012 avaient imaginé construire une piscine digne de ce nom, capable d’accueillir des grands rendez-vous internationaux. Là aussi, qu’au début de la phase de candidature pour les JO de 2024, le GIP (groupement d’intérêt public) de l’époque envisageait d’implanter son futur centre aquatique. Les promesses de dépollution et de transformation n’auront pas tenu longtemps.