Il y a eu plusieurs grands oraux cette semaine, des discours de politique générale devant des assemblées hostiles ou défiantes, mais le stress de Christophe Galtier ce mardi à 14h04 dans l’amphithéâtre du Parc des Princes n’aura sans doute pas d’équivalent. Quand le nouvel entraîneur du PSG a débarqué dans son nouveau monde, derrière Nasser Al-Khelaïfi, son président, et devant Jean-Claude Blanc, son directeur général délégué, il a d’abord offert un visage fermé, solennel, les mâchoires serrées, mesurant du regard le vertige qui l’attend désormais.