La sieste devant le Tour en juillet, on croyait ça terminé. Comme l’an dernier où c’était parti de tous les côtés, les organisateurs avaient concocté une première semaine piégeuse pour garder les téléspectateurs éveillés. Mais le vent, les ponts ou les monts programmés sur ces quatre premières étapes ont, tous, accouché d’une souris. Ou plutôt d’un maillot jaune étincelant, Wout van Aert (WVA). Mais, derrière lui, c’est le désert.