Alerte enlèvement dans le peloton. Il reste trois jours de course et les coureurs n’ont plus rien dans les chaussettes. Leur énergie a disparu. « Je pense que tout le monde est cuit », lâche Romain Bardet, au sommet de Peyragudes (Hautes-Pyrénées), vite rejoint par Valentin Madouas dans son constat d’épuisement généralisé : « On sent que les corps sont très fatigués. Ça ne sert à rien de jouer avec eux, c’est un coup à exploser. Les deux sont au-dessus, il faut être réaliste. Ça ne sert à rien d’essayer de les suivre. »