Le champion du monde 1994 connaît bien la montée d’Hautacam où il avait enlevé, la même année, la première de ses deux victoires d’étape sur le Tour de France. La seconde est arrivée deux ans plus tard. Il a suivi avec un regard avisé l’explication au sommet entre Jonas Vingegaard et Tadej Pogacar sur l’altiport de Peyragudes. Pour lui, elle est riche d’enseignements. D’abord pour la victoire finale. Mais aussi pour le bilan des Français à la fin du Tour. Pour Leblanc, s’il y a encore un peu d’incertitudes pour le maillot jaune à Paris, il est beaucoup moins optimiste sur les chances d’un Français de lever les bras d’ici dimanche à Paris.