La lectrice dit que sa famille a été surprise de voir que la flamme olympique n’était pas réelle – et qu’il n’y avait plus de jouets Phryge disponibles
À l’éditeur,
Ma sœur et ma famille sont récemment revenues des Jeux olympiques de Paris. Ils ont été étonnés – et déçus – de découvrir que la flamme olympique n’était pas du tout une flamme, mais de l’eau et de la lumière. De plus, la « flamme » qui est censée rester allumée pendant toute la durée des Jeux n’était pas allumée du tout pendant au moins deux jours lorsqu’ils sont passés devant la « gondole ».
Comment les organisateurs ont-ils pu s’en sortir en ne gardant pas la « flamme » allumée tout au long du festival ?
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Ils ont également été surpris et déçus de constater que la mascotte de Paris 2024, Phryge (qu’on leur avait demandé de ramener chez eux pour offrir à divers membres de leur famille) n’était pas commercialisée à grande échelle ni mise à disposition sur les sites de compétition – elle n’était vendue que dans une boutique spécifique sur laquelle ils sont tombés par hasard ! Paris en aurait-elle honte ?
Virginia Rendle, par courriel
Note de l’éditeur :
Vous avez raison de souligner que le « cercle de feu » ne brûlait pas réellement – c’était une illusion constituée de nuages de brume éclairés par des rayons LED, construits par l’entreprise énergétique française EDF.
Chaque soir, au coucher du soleil, pendant la période des Jeux, il était entraîné dans le ciel du Jardin des Tuileries pendant deux heures par un ballon à hélium de 30 mètres, recouvert d’une peinture satinée réfléchissant la lumière.
Il y avait pourtant une flamme olympique authentique qui brûlait à Paris. Elle était cachée dans une petite boîte en verre, exposée à côté du chaudron. Elle contenait une petite flamme dans une lanterne, avec un écriteau indiquant : « Allumée à Olympie, par les rayons du soleil. »
Quant aux Phryges, il semble qu’ils soient victimes de leur succès.
“Plusieurs milliers” de peluches étaient vendues chaque jour au mégastore des Champs-Elysées, la plus grande boutique officielle, pendant la période des JO, rapportait FranceInfo en août.
De nombreux points de vente étaient temporairement en rupture de stock. Les fabricants Doudou et Compagnie et Gipsy Toys estimaient qu’entre deux et 2,3 millions d’exemplaires seraient vendus au total, y compris à l’étranger.
Etes-vous allé à Paris pendant les JO ? Quelle a été votre expérience ? Faites-nous part de vos impressions via [email protected]
